Test Biotherm Waterlover sun milk

La protection contre les UVB est mesurée selon une méthode in vivo détaillée dans la norme ISO 24444:2019 ; celle contre les UVA, par une méthode in vitro décrite dans la norme ISO 24443:2012(E).

Par « qualités cosmétiques », on entend texture, facilité d’étalement, rapidité d’absorption, traces blanches, effet collant ou gras, parfum, sensation sur la peau. Trente personnes ont utilisé et jugé 2 produits chacune, puis elles ont décidé si elles étaient prêtes à les acheter.

Elle est analysée par une lecture des étiquettes. Les crèmes contenant des perturbateurs endocriniens sont bannies chez les enfants, les adolescents et les femmes enceintes. Celles renfermant du phénoxyéthanol doivent être évitées chez les moins de 3 ans. La présence d’un ou plusieurs des 26 allergènes à déclaration obligatoire est fréquente, sauf dans les références « enfants ». La présence de nanoparticules doit légalement être spécifiée mais, le risque pour la santé restant mal cerné, nous précisons seulement si l’étiquette en fait mention.

Un laboratoire spécialisé en analyse environnementale a analysé pour nous l’impact des filtres UV employés dans les crèmes. Il tient compte de leur toxicité chronique et aiguë sur le milieu aquatique, du risque pour les coraux, de la non-biodégradabilité et de la bioaccumulation (concentration dans les organismes).
Les autres ingrédients de la formule (autres que les filtres UV) sont également passés au crible. Plus la crème renferme d’ingrédients problématiques, plus elle est pénalisée.
La note environnementale intègre aussi une analyse des emballages : elle est principalement basée sur le calcul de la quantité de produit restante dans le flacon, à laquelle s’ajoutent 3 autres critères qui pèsent moins lourd dans le score : type de matériau employé (avec un bonus à ceux qui emploient des produits recyclés), rapport contenant/contenu et présence d’un suremballage.